Les initiatives des acteurs de l'économie et des territoires sont de plus en plus nombreuses mais insuffisantes face à l'augmentation du nombre de personnes en grande difficulté, à la dégradation de l'environnement et aux dérèglements climatiques.
Un changement d'échelle est nécessaire. Cela implique d'avancer sur tous les plans : comportements, technologies, financements, éducations, solidarités...
La Fondation des Transitions, fondation abritée reconnue d'utilité publique, propose des solutions nouvelles, partage des démarches innovantes et agit, tout en s'enrichissant constamment de nouveaux acteurs dans son écosystème.
Stéphane Aver, Président
Gilles Berhault, Délégué général
La convergence des transitions numériques, écologiques, énergétiques et culturelles exige la "transformation" individuelle de tous, avec la mise en valeur des connaissances et le développement de talents nouveaux pour imposer la seule ambition collective que nous devrions nous fixer : celle du "bien vivre" sans exclusion.
Mais il nous faut incarner ces métamorphoses.
Pour cela, la Fondation des Transitions organise des conférences, ateliers et débats qui font référence. Elle publie, intervient, participe et accompagne de nombreux travaux.
La Fondation des Transitions participe à faire émerger les signaux faibles et à influer sur les politiques publiques et les engagements des acteurs
des territoires et de l’économie.
Depuis 16 ans, l’Université d’été a reçu des milliers de participants et donné la parole à plus de 1.000 contributeurs sur des sujets
comme la contribution du numérique au développement durable, la communication responsable, l’efficacité énergétique, les changements de comportement face aux transitions, le care…
Au moins une fois par trimestre, des conférences sont organisées permettant d’écouter des responsables politiques, des chercheurs, des
chefs d’entreprise… Ces conférences réunissent environ 200 personnes, souvent en partenariat avec La Sorbonne, l’AFD, le CESE…
Le lancement du livre « Un autre Monde est possible. Lost in transitions ? » à La Sorbonne a permis de partager le fruit des travaux
du lab sur le sujet pendant deux ans et de mettre en débat les propositions d'alternatives à l'effondrement.
La conférence de janvier 2019 centrée sur la Qualité de l’air et le care était plus thématique et a permis d’ouvrir les travaux de ce
nouveaux lab.
Un point important de ce travail de « share tank » a été la rencontre du 31 mai 2018 au Théâtre des Variétés. Elle a été exemplaire
pour la Fondation des Transitions, d’abord parce qu’elle a donné lieu à une co-organisation entre des structures engagées (FACE, Convergences et Sorbonne Développement durable) et bien d’autres
organisations comme l’alliance des entreprises à mission, le B’Corp, l’Institut du Capitalisme Responsable, en présence de députés et de représentants des services de l’État. Nous avons pu
démontré la capacité d’acteurs très différents à porter un message commun au-delà de leurs différences. Les 1.000 inscrits sont la preuve de la pertinence de la démarche.
La Fondation des Transitions est pilotée par le Conseil d’administration, le Comité exécutif ainsi qu'un comité d’experts renommés
▲ Membres du Comex : Stéphane Aver (Aaqius) - Président, Pierre-Alexandre Teulié (Nestlé France) - Vice-président, Francis Jutand (IMT) - Président du Comité scientifque.
▲Membres Fondateurs : Vincent Baholet (Face), Florence Cousin (SNCF), Benoit Desveaux (Hopscotch), Claire Gagnaire (GeoPLC), Sophie Galharet (GRDF), Sophie Nunziati (Agence Verte), Séverine Roullet (Laboratoires Pierre Fabre), Gilles Vermot-Desroches (Fondation Schneider Electric)
▲ Membres experts : Marie-Hélène Aubert, Richard Collin, Carine Dartiguepeyroux, Anne-Laure Noat (Eurogroup Consulting), Valérie Martin (ADEME), Yann Toma (Sorbonne Développement Durable), Raymond Van Ermen.
Créée en 1993 à l’initiative de 16 grands groupes français, FACE est reconnue d’Utilité Publique et fondation abritante en 2013. Elle est présidée depuis 2008 par Gérard Mestrallet et œuvre en faveur de l’engagement social et sociétal des entreprises pour lutter contre toutes les formes d’exclusion, de discriminations et de pauvreté, par une approche globale et innovante de RSE.
Organisée en réseau avec plus de 70 clubs, FACE rassemble plus de 6000 entreprises de toutes tailles et travaille en collaboration avec l’ensemble des parties prenantes concernées par sa mission d’utilité publique (institutions, associations, collectivités territoriales, chercheurs, etc.).
400 000 personnes en France bénéficie de son action.